Pour des éoliennes
mieux » acceptées » en Touraine
Source : lanouvellerepublique.fr – Consulter l’article sur le site officiel de lanouvellerepublique.
Implantée à Tours-Nord, la société spécialisée dans les énergies renouvelables, Énergie Éolienne Solidaire, prône la concertation, la participation et l’autoconsommation.
On ne peut pas dire qu’en Indre-et-Loire, les gens se bousculent pour « accueillir » les éoliennes. Si la région Centre-Val de Loire occupe la 4e place en termes d’implantation, la Touraine reste toujours vierge en la matière et de La Chapelle-Blanche à Brizay en passant par Lémeré ou Bridoré, le… vent de la contestation n’en finit pas de souffler.
Richard Polin a l’intention de changer les choses. Avec Thomas Daubner, son associé, il est dans la partie depuis plus de vingt ans.
Le 1er mars, il a fondé Énergie Éolienne Solidaire et s’est installé à Tours avec une petite équipe de huit personnes.
« Généralement, les développeurs conçoivent, de l’initiative jusqu’au financement, des projets 100 % privés dont le “ retour ” sur les territoires est souvent jugé faible. »
EES est aussi une société privée et ne s’en cache pas. Elle reconnaît que pour produire de l’énergie pas chère, on est obligé d’envisager de produire sur de grandes surfaces, notamment pour le photovoltaïque, sa deuxième branche d’activité.
« Mais nous proposons une approche différente. Notamment un financement participatif et une entrée au capital des communes ou intercommunalités ainsi que des particuliers ; les énergies renouvelables sont avant tout des projets de territoires. Pour que les gens y adhèrent, il faut de la concertation dès le départ ». Autre principe : ne pas installer sur des surfaces agricoles mais sur des friches industrielles, les parcs solaires qui requièrent plusieurs hectares « afin d’éviter les conflits d’usage ».
EES souhaite aussi développer l’autoconsommation. « C’est possible depuis deux ans, les textes réglementaires ayant changé. On peut donc envisager des projets dimensionnés pour répondre aux besoins en énergie de centres commerciaux, d’entrepôts ou autres. »
Le Covid a, sans surprise, ralenti les projets « mais on a cependant plusieurs pistes sur l’agglomération tourangelle », révèle Richard Polin.
Richard Polin a l’intention de changer les choses. Avec Thomas Daubner, son associé, il est dans la partie depuis plus de vingt ans.
Le 1er mars, il a fondé Énergie Éolienne Solidaire et s’est installé à Tours avec une petite équipe de huit personnes.
« Généralement, les développeurs conçoivent, de l’initiative jusqu’au financement, des projets 100 % privés dont le “ retour ” sur les territoires est souvent jugé faible. »
EES est aussi une société privée et ne s’en cache pas. Elle reconnaît que pour produire de l’énergie pas chère, on est obligé d’envisager de produire sur de grandes surfaces, notamment pour le photovoltaïque, sa deuxième branche d’activité.
« Mais nous proposons une approche différente. Notamment un financement participatif et une entrée au capital des communes ou intercommunalités ainsi que des particuliers ; les énergies renouvelables sont avant tout des projets de territoires. Pour que les gens y adhèrent, il faut de la concertation dès le départ ». Autre principe : ne pas installer sur des surfaces agricoles mais sur des friches industrielles, les parcs solaires qui requièrent plusieurs hectares « afin d’éviter les conflits d’usage ».
EES souhaite aussi développer l’autoconsommation. « C’est possible depuis deux ans, les textes réglementaires ayant changé. On peut donc envisager des projets dimensionnés pour répondre aux besoins en énergie de centres commerciaux, d’entrepôts ou autres. »
Le Covid a, sans surprise, ralenti les projets « mais on a cependant plusieurs pistes sur l’agglomération tourangelle », révèle Richard Polin.
Source : lanouvellerepublique.fr – Consulter l’article sur le site officiel de lanouvellerepublique.